21 juillet 2011

Robe

A l'étage de cette maison silencieuse, il chiffonna sa robe dans ses paumes. L'été lui coula ainsi entre les doigts et suivait les lignes de ses mains. Des frémissements inamovibles que ne touchait pas le vent chaud. Des surfaces froissées que ne marquait pas le plomb du soleil. Ce n'est que lorsque les insectes recommencèrent à se frotter les ailes qu'ils se dirigèrent vers les whiskys.