De celui qui habitait le bout du bar
Comme sans cesse on repousse le matin
Elle laissa planer cette angoisse
Jürg, pense à ta mère
Elle a dû pousser pour te mettre au monde
Jürg, ne finis plus ton verre
Jürg, fous le camp
Jürg, si tu te démontes
La maintenance ne te remontera plus comme avant
Jürg, ces gens-là ont changé